Courrier des lecteurs - Les carrières Blanc

Un visiteur de La Gazette du Plateau nous a envoyé ceci : leprogres.fr a publié le 30.10.2015 un article sur :  

Les carrières Blanc rachètent les quatre sites initialement exploités par les sociétés Vincent 

Très bel article; à lire... que nous réserve cette société par la suite ? 

Hauteville-Lompnes. Les carrières de marbre changent de propriétaire
Économie. Les carrières Blanc rachètent les quatre sites initialement exploités par les sociétés Vincent et Rivat avec la ferme intention de moderniser l’extraction et le traitement des granulats.
Exploitées depuis la fin du XIXe siècle, les carrières font partie du patrimoine local et ont largement participé à la notoriété de la station. On retrouve ce marbre particulier, surnommé le Choin ou la Perlée, et ses teintes blanches ou rosées dans de nombreux édifices, depuis la statue de la Liberté en passant par le palais impérial de Tokyo, le palais impérial du Japon ou celui de l’Escurial en Espagne. Depuis quelques semaines l’extraction marbrière et le concassage pour la fabrication des granulats sont passés sous la coupe des carrières Blanc, filiale des carrières du Boulonnais, une entreprise familiale d’environ 200 personnes.
Moderniser l’activité
« Nous sommes désormais à la tête des carrières d’Hauteville, de celles de Champdor, d’Izernore et de Porcieu (38) avec une activité principale : la fabrication de granulats de différents calibres pour alimenter les entreprises de travaux publics et de pierre marbrière », indique Xavier Combes géologue foncier du groupe. « Nous souhaitons trouver d’autres destinations, en particulier dans le domaine de fabrication de béton, mais cela va demander de nouveaux investissements, de nouvelles machines. L’objectif est de pérenniser et moderniser l’activité. Les machines actuelles ne répondent plus aux normes. Nous allons limiter les pollutions sonores et la dispersion de poussières. Nous allons aussi installer un convoyeur à bande qui permet d’acheminer les matériaux jusqu’au concasseur. Les camions n’auront plus à traverser la route », poursuit le géologue.
Aucun emploi menacé
Quant aux salariés de ces carrières, leur avenir ne semble pas menacé. « Nous allons certes automatiser quelques tâches, installer des groupes mobiles de traitement, mais aussi augmenter les volumes, optimiser la valorisation du gisement pour approcher les maximales autorisées et l’emploi ne sera pas menacé », conclut Christophe Delattre le directeur régional des carrières Blanc.

Comments

[Nico]

C est pour cela que le moitié des salariés de la carrière d hauteville à été licencié...Et cela même avant la parution de l article...

Les carrières d hauteville et de Champdor nous en entendrons encore parlé parce que le but de cette société c est de tout exploiter et cela le plus rapidement possible..

Avec des nuisances sans précédent...